Titre : |
La cigarette sans cravate: Syrizia, la dette, le boutiquier et les luttes de classes en Grèce : Supplément à Théorie Communiste No 24 |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
octobre 2015 |
Importance : |
48 pages |
Prix : |
3 Euros |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
MARXISME -- MARXISM
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Mots-clés : |
marxisme marxism syriza grèce greece luttes de classes classes sociales classe sociale |
Résumé : |
Au cours des émeutes de 2008, les grandes familles bourgeoises et les deux fractions de la petite bourgeoisie, la moderne et la traditionnelle, étaient unies derrière la police contre le prolétariat des chômeurs, des précaires, des travailleurs immigrés. En 2011, les classes moyennes rejoignirent le prolétariat sur les places, mais déjà elles avaient pris l'ascendant sur lui : il ne s'agissait plus que d'injustice, de distribution et de revenus. En février et juillet 2012, les émeutes prolétariennes brillaient de leurs derniers feux ; deux mois avant la petite bourgeoisie traditionnelle avait rejoint la lutte électorale qui avait frappé d'obsolescence la lutte sociale en consacrant sa faiblesse dans sa force apparente. Au lendemain du 5 juillet, la grande bourgeoisie et les instances du capitalisme mondial dispersèrent les restes et les rêves de la petite bourgeoisie. Chaque fois le prolétariat était présent, chaque fois il fut vaincu, d'abord en son nom propre, puis au nom de toutes les couches qui s'élèvent au-dessus de lui. |
La cigarette sans cravate: Syrizia, la dette, le boutiquier et les luttes de classes en Grèce : Supplément à Théorie Communiste No 24 [texte imprimé] . - octobre 2015 . - 48 pages. 3 Euros Langues : Français ( fre)
Catégories : |
MARXISME -- MARXISM
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Mots-clés : |
marxisme marxism syriza grèce greece luttes de classes classes sociales classe sociale |
Résumé : |
Au cours des émeutes de 2008, les grandes familles bourgeoises et les deux fractions de la petite bourgeoisie, la moderne et la traditionnelle, étaient unies derrière la police contre le prolétariat des chômeurs, des précaires, des travailleurs immigrés. En 2011, les classes moyennes rejoignirent le prolétariat sur les places, mais déjà elles avaient pris l'ascendant sur lui : il ne s'agissait plus que d'injustice, de distribution et de revenus. En février et juillet 2012, les émeutes prolétariennes brillaient de leurs derniers feux ; deux mois avant la petite bourgeoisie traditionnelle avait rejoint la lutte électorale qui avait frappé d'obsolescence la lutte sociale en consacrant sa faiblesse dans sa force apparente. Au lendemain du 5 juillet, la grande bourgeoisie et les instances du capitalisme mondial dispersèrent les restes et les rêves de la petite bourgeoisie. Chaque fois le prolétariat était présent, chaque fois il fut vaincu, d'abord en son nom propre, puis au nom de toutes les couches qui s'élèvent au-dessus de lui. |
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